DarKcatZ
Habitué
Ergonomie
Visuellement, le Roccat Isku FX n’affiche quasiment aucune différence avec la version antérieure. Une chose est sûre, il vous faudra toujours faire le ménage sur votre bureau pour y poser ce mastodonte aux mensurations colossales (25 x 51 cm pour 900 grammes). Il conserve le revêtement brillant qui entoure les touches. C’était déjà salissant sur le Isku, ça l’est toujours sur le Isku FX.
Il est équipé de pattes d’inclinaison qui n’enlèvent rien à sa bonne accroche sur le bureau, même quand elles sont déployées. Sans celles-ci, l’Isku FX s’avère bien trop plat pour être confortable. Le repose-poignet massif (9 cm), qui n’est pas démontable, est bienvenu. Son apport en termes de confort est indéniable, surtout en jeu. Deux passe-câbles situés sous le clavier facilitent le branchement d'un casque. En revanche, pas de hub USB, pourtant bien pratique ; et ce n'est pas la place qui manquait...
Côté raccourcis. On peut programmer 5 profils différents et en changer rapidement grâce à des Led indiquant lequel est actif. Chacun des profils enregistre plusieurs types de raccourcis. Tout d’abord 5 touches macros, programmables à la volée grâce à la touche Rec. Viennent ensuite 3 touches sous le pouce, programmables depuis le logiciel. Enfin, Roccat a conservé la fonction EasyShift+ qui permet d’attribuer des raccourcis à 20 touches. Bref, de quoi satisfaire les accros de la macro, c’est à dire principalement les joueurs de MMO et jeux de stratégie.
Pour compléter cette liste déjà longue, on retrouve une barre de raccourcis multimédias pour gérer le son, la lecture de musique ou de vidéo, l’ouverture d’une page Internet et un accès rapide à l’explorateur Windows.
Venons-en maintenant à la seule amélioration entre Isku et Isku FX : le rétroéclairage. On peut dorénavant choisir la couleur de son rétroéclairage parmi les 16,8 millions de couleurs proposées. L'intensité est réglable sur 5 niveaux et peut activer un effet dit de "respiration" (une variation régulière et cyclique de l'intensité). Un défaut tout de même : les touches multimédias, la touche d’enregistrement de macro et même la touche de réglage du rétroéclairage ne sont pas éclairées.
Enfin, à la fonction Talk que l’on trouvait sur le Isku, et qui permettait au clavier de communiquer intelligemment avec une souris (Roccat bien entendu), le constructeur ajoute sa touche "FX". Le Talk FX permet au rétroéclairage du clavier de réagir à certaines situations de jeu (par exemple clignoter en rouge lorsqu’un ennemi vous cible). Il faut bien entendu jouer à des titres compatibles avec le driver Roccat. On ne trouve malheureusement aucune liste des jeux compatibles.
La frappe
Première déception quand on attaque la frappe : Roccat n’a pas jugé bon de passer son clavier en switchs mécaniques. Ce sont de simples dômes en caoutchouc qui animent le clavier. Ils n’offrent malheureusement pas la même réactivité que des touches mécaniques ni le même confort de frappe. Réputés plus silencieux que les switchs mécaniques, les dômes devraient au moins se défendre sur ce point. Rien ! Roccat nous offre ici un clavier à la fois bruyant et à dômes.
POINTS FORTS
Nombreux raccourcis.
Profils personnalisables.
Macros programmables à la volée.
Repose-poignets bienvenu.
POINTS FAIBLES
Pas de switchs mécaniques.
Frappe bruyante.
Pas de rétroéclairage sur certaines touches.
Pas de hub USB.
Visuellement, le Roccat Isku FX n’affiche quasiment aucune différence avec la version antérieure. Une chose est sûre, il vous faudra toujours faire le ménage sur votre bureau pour y poser ce mastodonte aux mensurations colossales (25 x 51 cm pour 900 grammes). Il conserve le revêtement brillant qui entoure les touches. C’était déjà salissant sur le Isku, ça l’est toujours sur le Isku FX.
Il est équipé de pattes d’inclinaison qui n’enlèvent rien à sa bonne accroche sur le bureau, même quand elles sont déployées. Sans celles-ci, l’Isku FX s’avère bien trop plat pour être confortable. Le repose-poignet massif (9 cm), qui n’est pas démontable, est bienvenu. Son apport en termes de confort est indéniable, surtout en jeu. Deux passe-câbles situés sous le clavier facilitent le branchement d'un casque. En revanche, pas de hub USB, pourtant bien pratique ; et ce n'est pas la place qui manquait...
Vous devez être connecté pour voir les images.
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Côté raccourcis. On peut programmer 5 profils différents et en changer rapidement grâce à des Led indiquant lequel est actif. Chacun des profils enregistre plusieurs types de raccourcis. Tout d’abord 5 touches macros, programmables à la volée grâce à la touche Rec. Viennent ensuite 3 touches sous le pouce, programmables depuis le logiciel. Enfin, Roccat a conservé la fonction EasyShift+ qui permet d’attribuer des raccourcis à 20 touches. Bref, de quoi satisfaire les accros de la macro, c’est à dire principalement les joueurs de MMO et jeux de stratégie.
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Pour compléter cette liste déjà longue, on retrouve une barre de raccourcis multimédias pour gérer le son, la lecture de musique ou de vidéo, l’ouverture d’une page Internet et un accès rapide à l’explorateur Windows.
Venons-en maintenant à la seule amélioration entre Isku et Isku FX : le rétroéclairage. On peut dorénavant choisir la couleur de son rétroéclairage parmi les 16,8 millions de couleurs proposées. L'intensité est réglable sur 5 niveaux et peut activer un effet dit de "respiration" (une variation régulière et cyclique de l'intensité). Un défaut tout de même : les touches multimédias, la touche d’enregistrement de macro et même la touche de réglage du rétroéclairage ne sont pas éclairées.
Enfin, à la fonction Talk que l’on trouvait sur le Isku, et qui permettait au clavier de communiquer intelligemment avec une souris (Roccat bien entendu), le constructeur ajoute sa touche "FX". Le Talk FX permet au rétroéclairage du clavier de réagir à certaines situations de jeu (par exemple clignoter en rouge lorsqu’un ennemi vous cible). Il faut bien entendu jouer à des titres compatibles avec le driver Roccat. On ne trouve malheureusement aucune liste des jeux compatibles.
La frappe
Première déception quand on attaque la frappe : Roccat n’a pas jugé bon de passer son clavier en switchs mécaniques. Ce sont de simples dômes en caoutchouc qui animent le clavier. Ils n’offrent malheureusement pas la même réactivité que des touches mécaniques ni le même confort de frappe. Réputés plus silencieux que les switchs mécaniques, les dômes devraient au moins se défendre sur ce point. Rien ! Roccat nous offre ici un clavier à la fois bruyant et à dômes.
POINTS FORTS
Nombreux raccourcis.
Profils personnalisables.
Macros programmables à la volée.
Repose-poignets bienvenu.
POINTS FAIBLES
Pas de switchs mécaniques.
Frappe bruyante.
Pas de rétroéclairage sur certaines touches.
Pas de hub USB.