Performances
Configuration de test

CPU | Core i7-6850K, 6c/12t @ 4,3 GHz |
RAM | 32 Go de DDR4-3200 G.Skill Trident Z CL14 |
Carte mère | MSI X99A GODLIKE GAMING |
GPU | PNY GTX 1080 PNY XLR8 RTX 2060 OC PNY XLR8 RTX 2080 Ti OC |
Alimentation | Corsair RM750x |
OS | Windows 10 x64 dernière version |
Moniteur | AOC u2868Pqu FreeSync 48-62 Hz |

Pour tester cette technologie, nous nous sommes concentrés sur la GeForce RTX la moins puissante de NVIDIA, la RTX 2060. Ce modèle est le plus susceptible de profiter du VRS, surtout à haute définition. Nous l’avons donc testé en 4K et en QHD. Juste par curiosité, nous avons aussi testé la techno sur une RTX 2080 Ti en 4K avec toutes les options au maximum. Notez toutefois que nous avons désactivé le flou de mouvement.
Que ce soit en QHD ou en 4K avec notre PNY XLR8 RTX 2060, le jeu est jouable même sans la technologie VRS, grâce à un excellent moteur 3D que nous avons déjà pu apprécier lors de notre analyse de performance de Wolfenstein II. Nous avons souhaité mettre une GeForce GTX 1080 en face de la RTX 2060, les deux cartes étant en compétition directe. Mais alors que la GTX 1080 est souvent plus performante que la RTX 2060, ce n’est pas le cas dans Wolfenstein II. Il aurait donc été plus pertinent de confronter la carte à une Vega 56, mais nous n’en avions pas entre les mains.
Dans les deux définitions, on constate que le VRS apporte un gain de performance dès son premier niveau (mode Qualité), qui ne pose aucun problème de diminution de qualité visuelle. On peut aussi constater que le mouvement de la souris apporte les meilleures performances, ce qui montre que les avantages du VRS ne se mesurent vraiment qu’en mouvement, en plein jeu. On peut alors espérer 5 à 15 % d’images par seconde supplémentaires, en fonction de la scène affichées et des mouvements du joueur.
Dernier essai avec une GTX 2080 Ti, qui ne semble pas vraiment avoir besoin du VRS pour être à l’aise dans Wolfenstein II. Ici, on constate que le VRS permet de dépasser les 120 ips symboliques en permanence, pour profiter des écrans à fort taux de rafraîchissement.
Sommaire :
- Une astuce intéressante...
- Qualité de rendu
- Performances
- Conclusion
Et faire des jeux moins cons avec des graphismes plus simples ?
Oui on peut aussi rester dans le passé à vie et jouer au pong jusqu’à la fin des temps 🙂
OK mais en 1985 on restait des nuits scotchés sur un jeu de rôle avec le lecteur de disquette qui mettait une plombe à charger le dessin pixelisé du mob auquel on devait faire face.
Entre ça et le genre Sniper Elite et la balle qui déchire en 3D dernier cri les organes internes de l’adversaire, il y a un monde lol.
Le problème c’est qu’aujourd’hui « faut qu’ça claque », un jeu graphiquement beau impressionne plus et cache les faiblesses du gameplay / scénario genre « c’est pas super optimisé, mais qu’est-ce que c’est beau ».
Welcome to bling bling world. Que tous les studios aillent optimiser le code de tous leurs jeux à 60go en moyenne et ça ira déjà mieux. ^^
Par contre je dois avouer que Witcher 3 m’a bluffé et que j’ai bien aimé Skyrim, à part les gameplay et interfaces que je n’ai pas aimé. Je ne lance Witcher 3 que pour me balader un peu dans le monde lol.