{"id":44518,"date":"2014-12-22T08:00:00","date_gmt":"2014-12-22T07:00:00","guid":{"rendered":"https:\/\/cms.galaxiemedia.fr\/tomshardware\/2014\/12\/22\/comparatif-les-meilleurs-disques-durs-externes-usb-3-0-2015\/"},"modified":"2023-06-22T17:11:58","modified_gmt":"2023-06-22T15:11:58","slug":"comparatif-les-meilleurs-disques-durs-externes-usb-3-0-2015","status":"publish","type":"post","link":"https:\/\/www.tomshardware.fr\/comparatif-les-meilleurs-disques-durs-externes-usb-3-0-2015\/","title":{"rendered":"Comparatif : les meilleurs disques durs externes USB 3.0 (2015)"},"content":{"rendered":"

Comment choisir un disque dur externe ?<\/h2>\n

MAJ<\/strong> : Retrouvez notre nouveau comparatif de disques durs externes ici.<\/p>\n\n

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Le format<\/h3>\n\n

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On trouve deux formats de disques durs externes : les 2,5″ (6,35 cm) et les 3,5″ (8,89 cm)<\/strong>. Les premiers sont l\u00e9gers (\u2264 150 g), compacts et tirent leur alimentation du connecteur de donn\u00e9es. Ils sont donc id\u00e9aux en d\u00e9placement. En contrepartie, les plateaux magn\u00e9tiques sur lesquels ils stockent les donn\u00e9es \u00e9tant physiquement plus petits, leur capacit\u00e9 de stockage est restreinte. Le maximum disponible aujourd’hui dans ce format est de 2 To. Les seconds sont \u00e0 l’oppos\u00e9. Gros et lourds (\u2248 1 kg), ils n\u00e9cessitent une alimentation externe et sont donc difficilement transportables. En revanche, leur capacit\u00e9 de stockage est bien plus importante. Ils atteignent pour le moment 4 To ; leur prix au gigaoctet est \u00e9galement plus bas. <\/p>\n\n

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Au sein des disques durs 2,5″ il existe une sous-cat\u00e9gorie r\u00e9cente, les slim<\/strong>. Ces disques sont plus fins que la moyenne, car leur disque interne est un mod\u00e8le de 7 mm d’\u00e9paisseur seulement. Corollaire, ils ne poss\u00e8dent qu’un seul et unique plateau magn\u00e9tique : leur capacit\u00e9 maximale est de 500 Go aujourd’hui. <\/p>\n\n

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Citons une derni\u00e8re cat\u00e9gorie, tout \u00e0 fait marginale : le format mSATA. Calquant leurs dimensions sur les cartes mini PCI-Express, les disques \u00e0 ce format sont en r\u00e9alit\u00e9 des SSD. Leurs performances sont donc remarquables, mais leur capacit\u00e9 encore plus limit\u00e9e et leur co\u00fbt \u00e9lev\u00e9.<\/p>\n\n

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L’interface
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Pendant de longues (tr\u00e8s longues) ann\u00e9es, les disques externes furent brid\u00e9s par leur interface \u00e0 la norme USB 2.0<\/strong>. Plafonnant, par grand soleil et vent dans le dos \u00e0 40 Mo\/s, cette norme ne satisfaisait plus les besoins modernes en bande passante, ce qui a pouss\u00e9 certains constructeurs \u00e0 chercher des alternatives. On a connu le Firewire 800<\/strong> (surtout chez Apple), puis l’eSATA<\/strong>. Plus rapides, ces normes n’ont cependant jamais r\u00e9ussi \u00e0 supplanter l’USB. On a donc vu appara\u00eetre des disques bi-, tri- voire quadri-interfaces, on\u00e9reux et peu pratiques.<\/p>\n\n

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Le choix est heureusement beaucoup plus simple aujourd’hui : l’USB 3.0<\/strong> a pris le relais de l’USB 2.0 en assurant une compatibilit\u00e9 descendante (les p\u00e9riph\u00e9riques USB 3.0 peuvent se brancher sur des h\u00f4tes USB 2.0) et ascendante (les p\u00e9riph\u00e9riques USB 2.0 peuvent se brancher sur des h\u00f4tes USB 3.0). \"Image<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n

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Prenez garde tout de m\u00eame aux connecteurs utilis\u00e9s. Les disques durs 2,5″ USB 2.0 emploient syst\u00e9matiquement une prise USB 2.0 “mini”. Les disques durs USB 3.0 2,5″, une prise USB 3.0 “micro”. Cette derni\u00e8re n’accepte que les connecteurs USB 3.0 “micro” ou USB 2.0 “micro”. Les vieux c\u00e2bles ne sont donc pas r\u00e9utilisables sur les nouveaux disques. Th\u00e9oriquement la bande passante de l’USB 3.0 est de 5 Gbit\/s soit 500 Mo\/s<\/strong> (par la gr\u00e2ce d’un encodage 8b\/10b). Les fabricants n’h\u00e9sitent pas \u00e0 mettre en valeur ce chiffre qui n’a aucune justification pratique : les disques durs actuels d\u00e9passent rarement les 180 Mo\/s. Seuls les SSD exploitent \u00e0 fond la bande passante offerte par l’USB 3.0 : nous avons pu atteindre plus de 430 Mo\/s “r\u00e9els” sur cette interface.<\/p>\n\n

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Aux c\u00f4t\u00e9s de l’USB 3.0, une autre interface promet monts et merveilles : Thunderbolt<\/strong>. Sa bande passante th\u00e9orique est encore plus \u00e9lev\u00e9e (10 Gbit\/s), mais en pratique elle sera aussi limit\u00e9e, soit par le disque dur, soit par le contr\u00f4leur SATA-Thunderbolt. Les produits Thunderbolt sont \u00e9galement tr\u00e8s co\u00fbteux et compatibles avec un tout petit nombre de machines r\u00e9centes (dont tous les Mac sortis depuis 2011).<\/p>\n\n

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La vitesse de rotation<\/h4>\n\n

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Il arrive parfois qu’un constructeur mette en avant la vitesse de rotation de son disque externe. Faut-il y faire attention ? Parfois. Comme sur les disques internes, la vitesse de rotation conditionne les performances du disque dur externe. Plus elle est \u00e9lev\u00e9e (7 200 tr\/min), plus le disque acc\u00e8dera rapidement aux donn\u00e9es. Toutefois, d’autres param\u00e8tres d\u00e9terminent les d\u00e9bits d’un disque dur, notamment la densit\u00e9 de ses plateaux<\/strong>. Il arrive qu’un disque \u00e0 rotation lente (5 400 tr\/min) soit autant, voire plus performant, qu’un disque \u00e0 7 200 tr\/min gr\u00e2ce \u00e0 des plateaux d’une g\u00e9n\u00e9ration plus avanc\u00e9e, plus denses. Pourtant le mod\u00e8le 7 200 tr\/min sera syst\u00e9matiquement vendu plus cher. <\/p>\n\n

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Par ailleurs, la vitesse de rotation ne doit \u00eatre prise en compte que si le disque est dot\u00e9 d’une interface rapide. Un disque dur ultrarapide sur un bus USB 2.0 est une h\u00e9r\u00e9sie.<\/p>\n\n

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