<\/p>\n\n
Voil\u00e0 typiquement le genre de question que l\u2019on se pose assez r\u00e9guli\u00e8rement quand on est exigeant ou bien de fa\u00e7on chronique \u00e0 l\u2019approche des f\u00eates de fin d\u2019ann\u00e9e\/anniversaires. Bon nombre d\u2019entre nous se sont ainsi ru\u00e9s sur un Athlon 64 ou Athlon 64 X2 durant la derni\u00e8re d\u00e9cennie du fait de leurs tr\u00e8s bonnes performances associ\u00e9es \u00e0 une tarification globalement accessible.<\/p>\n\n\n\n\n\n
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Intel signa son retour en grandes pompes mi-2006 avec les Core 2 qui affichaient de meilleures performances ainsi qu\u2019un meilleur rendement par rapport \u00e0 l\u2019offre AMD. Les configurations utilisant ces processeurs sont encore tr\u00e8s nombreuses \u00e0 l\u2019heure actuelle. Mais comment se comportent-elles par rapport aux puces d’aujourd’hui ? Nous avons oppos\u00e9 des plateformes LGA 775 et LGA 1156 pour y r\u00e9pondre.<\/p>\n\n\n\n\n\n
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<\/p>\n\n Dans quelle mesure la progression a-t-elle \u00e9t\u00e9 cons\u00e9quente\u00a0?<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Depuis un bon moment, les CPU gagnent progressivement en performances et fonctionnalit\u00e9s tout en restant dans la m\u00eame enveloppe thermique (entre 65 W et 130 W). En 5 ans, le nombre de coeurs est lui tranquillement pass\u00e9 de un \u00e0 six (et m\u00eame 12 dans les Opteron d’AMD). La fr\u00e9quence par contre, a r\u00e9gress\u00e9 (Intel retrouvant \u00e0 peine sur les derniers Core i7 le niveau des Pentium 4 et D), malgr\u00e9 la progression de la finesse de gravure\u00a0: 65, puis 45 et maintenant 32 nm. Intel a su assurer plus rapidement ces transitions, ce qui lui a permis d\u2019am\u00e9liorer la densit\u00e9 des transistors et donc d\u2019\u00eatre plus g\u00e9n\u00e9reux avec la m\u00e9moire cache qu’AMD.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Des transitions similaires se sont faites au niveau des cartes graphiques: si la plupart ne comptent qu\u2019un seul GPU, toutes font appel \u00e0 des architectures massivement parall\u00e8les. L’augmentation des performances des GPU est directement li\u00e9e au nombre de coeurs d’ex\u00e9cution contenus dans chaque puce. De plus, ATI comme NVIDIA ont mis au point des modes multi GPU avec deux, trois voire quatre cartes par configuration. On constate \u00e9galement que les cartes graphiques ont aussi trouv\u00e9 une utilit\u00e9 en dehors des jeux via des outils de programmation ATI Stream, NVIDIA CUDA et OpenCL. En 5 ans, la consommation maximale des cartes a certes doubl\u00e9 ou tripl\u00e9 (une Radeon X1800 XT avait un TDP de 81 W, une Geforce GTX 480 r\u00e9clame 250 W), mais la performance par Watt a clairement explos\u00e9.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n La DDR3 est maintenant le type de m\u00e9moire le plus vendu. Si les fr\u00e9quences n\u2019ont pas cess\u00e9 d\u2019augmenter, la DDR3-1333 convient \u00e0 la plupart d\u2019entre nous. Ceci \u00e9tant, le fait d\u2019avoir 4 Go ou plus est devenu imp\u00e9ratif avec certains programmes coupl\u00e9s \u00e0 un Os 64 bits. Ceux qui le peuvent ont remplac\u00e9 leur disque dur syst\u00e8me par un SSD, lesquels sont plus silencieux, performants en E\/S en plus d\u2019afficher une faible consommation. Du c\u00f4t\u00e9 des op\u00e9rations en lecture, les SSD sont intouchables mais on ne peut pas en dire autant en \u00e9criture o\u00f9 l\u2019on trouve du bon et du moins bon. Reste le co\u00fbt par gigaoctet qui est encore un frein bien r\u00e9el.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n N\u2019oublions pas les cartes m\u00e8res: le SATA 3Gb\/s est arriv\u00e9 en 2007 avec le NCQ, les mod\u00e8les haut de gamme ont souvent droit \u00e0 des fonctions RAID avanc\u00e9es, les ports USB 2.0 se sont multipli\u00e9s tandis que l\u2019eSATA est parfois de mise. Les puces audio HD, l\u2019Ethernet gigabit et les ports PCI Express sont rest\u00e9 des constantes, m\u00eame si le PCI Express 2.0 n\u2019a commenc\u00e9 \u00e0 se g\u00e9n\u00e9raliser qu\u2019avec l\u2019arriv\u00e9e du chipset Intel P45. Les cartes m\u00e8res actuelles embarquent quant \u00e0 elles des fonctions d\u2019\u00e9conomie d\u2019\u00e9nergie et d\u2019overclocking avanc\u00e9es tandis que l\u2019USB 3.0 et le SATA 6Gb\/s commencent \u00e0 devenir courants. <\/p>\n Notre carte m\u00e8re de 2007 est une MSI P35 1.0 socket 775, \u00e0 vrai dire une des rares de cette \u00e9poque qui soit encore au labo. La version 1.1 qui a suivi pr\u00e9sentait de bien meilleures capacit\u00e9s d\u2019overclocking et d\u00e9passait tr\u00e8s facilement la limite de 460 MHz pour le FSB contrairement \u00e0 celle-ci.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Si le chipset P35 a la particularit\u00e9 d\u2019\u00eatre compatible avec la DDR2 comme la DDR3, MSI a ici opt\u00e9 pour la DDR2 qui \u00e9tait plus courante et plus accessible en 2007. Afin de mettre nos deux configurations sur un pied d\u2019\u00e9galit\u00e9, nous avons utilis\u00e9 quatre barrettes Corsair 1 GB DDR2-800 sur cette carte.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Le chipset P35 a \u00e9galement marqu\u00e9 l\u2019apparition du southbridge ICH9 qui se distinguait principalement de son pr\u00e9d\u00e9cesseur par ses\u00a0 12 ports USB au lieu de 10, ainsi qu\u2019une connexion Ethernet gigabit MAC (Media Access Control) qui lib\u00e9rait les six lignes PCI Express 1x pour des ports PCIe suppl\u00e9mentaires. La MSI P35 Platinum utilise la variante ICH9R qui g\u00e8re l\u2019AHCI pour le SATA et le RAID 5.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n En termes de connectique et d\u2019interfaces, MSI a impl\u00e9ment\u00e9 un multiplicateur de ports pour disposer de ports eSATA ainsi qu\u2019un contr\u00f4leur FireWire 1394a (400 Mbit\/s) et une sortie audio optique. Outre les condensateurs \u00e0 \u00e9lectrolyte solide, on note un \u00e9tage d\u2019alimentation \u00e0 trois phases qui parait bien pauvre par rapport \u00e0 ce qui se fait actuellement.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Que manque-t-il \u00e0 la carte m\u00e8re de 2007\u00a0?<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Quels sont ses avantages ?<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Quelques points plaident en la faveur d\u2019une P35 Platinum (ou \u00e9quivalent) par rapport \u00e0 un mod\u00e8le de 2010\u00a0:<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Intel a lanc\u00e9 le Core 2 Duo mi-2006, tandis que le Core 2 Quad a suivi peu apr\u00e8s. Nous tenions \u00e0 comparer deux architectures quad core afin de voir \u00e0 quel point le Core i7-870 est sup\u00e9rieur \u00e0 la pr\u00e9c\u00e9dente g\u00e9n\u00e9ration, mais faute d\u2019avoir un Core 2 Quad Q66h00 nous avons d\u00fb nous rabattre sur un Core 2 Extreme QX6700. Malgr\u00e9 son statut de vitrine technologique et ses 999 euros au lancement, il faut noter que le Q6700 sorti plus tard avait exactement la m\u00eame fr\u00e9quence et la m\u00eame quantit\u00e9 de m\u00e9moire cache. La diff\u00e9rence se faisait au niveau du TDP qui est pass\u00e9 de 130 Watts pour le QX6700 \u00e0 105 Watts pour le Core 2 Quad Q6700 gr\u00e2ce au passage de la r\u00e9vision B3 (utilis\u00e9e ici) \u00e0 G0.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Bas\u00e9 sur le core Kentsfield, le QX6700 emploie deux die Conroe 65 nm qui embarquent chacun 4 Mo de cache L2. Tous deux sont cadenc\u00e9s \u00e0 2,66 GHz et communiquent via le FSB, ce qui a \u00e9t\u00e9 reproch\u00e9 \u00e0 Intel jusqu\u2019\u00e0 l\u2019arriv\u00e9e du Core i7 et de sa conception monolithique.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Zotac GeForce 8800 GTS<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Notre 8800 GTS bas\u00e9e sur le G80 compte 20 ROP, 96 Stream processors et 320 Mo de GDDR3. Lanc\u00e9e d\u00e9but 2007 au prix conseill\u00e9 de 319 euros, on peut consid\u00e9rer qu\u2019elle \u00e9tait un haut milieu de gamme sup\u00e9rieur. Au chapitre de la consommation nous avons relev\u00e9 environ 60 Watts en veille et l\u00e9g\u00e8rement moins de 140 Watts en charge, une valeur sup\u00e9rieure aux cartes graphiques actuelles dans le premier cas et \u00e9quivalente dans le second comme on le verra plus loin.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Fait notable, les GeForce s\u00e9rie 8 \u00e9taient les premi\u00e8res \u00e0 \u00eatre compatibles avec le Shader Model (SM) 4.0 ainsi que DirectX 10.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Western Digital WD1500 Raptor<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n La famille des Raptor jouit d\u2019une image assez prestigieuse, synonyme de performances de haute vol\u00e9e. La premi\u00e8re s\u00e9rie se d\u00e9clinait en versions 36 et 74 Go, tandis que la troisi\u00e8me (utilis\u00e9e ici) allait jusqu\u2019\u00e0 150 Go. Les Raptor comme les VelociRaptor sont les seuls disques durs grand public fonctionnant \u00e0 10\u00a0000 tr\/min, ce qui leur permet d\u2019avoir des temps d\u2019acc\u00e8s tr\u00e8s faibles ainsi que de tr\u00e8s bons d\u00e9bits. Les VelociRaptor actuels sont quant \u00e0 eux au format 2,5 pouces, ce qui ne les a pas emp\u00each\u00e9s d\u2019\u00eatre nettement plus performants que leurs pr\u00e9d\u00e9cesseurs. Un disque 7200 tr\/min r\u00e9cent affichera de meilleurs d\u00e9bits s\u00e9quentiesl qu\u2019un WD1500 Raptor gr\u00e2ce \u00e0 ses plateaux plus denses, mais la performance globale de ce dernier reste tout de m\u00eame au-dessus de la moyenne.<\/p>\n La MSI P55A Fuzion est une des cartes m\u00e8res socket LGA 1156 les plus r\u00e9centes que nous ayons re\u00e7ues. L\u00e0 encore on tient un produit milieu de gamme sup\u00e9rieur qui se compare donc bien avec la P35 Platinum en termes de positionnement et de tarification. D\u2019un point de vue fonctionnalit\u00e9 et qualit\u00e9, les principaux fabricants de cartes m\u00e8res ont initi\u00e9 une course \u00e0 l\u2019armement il y a quelques ann\u00e9es d\u00e9j\u00e0, un constat que ce mod\u00e8le confirme\u00a0: outre l\u2019\u00e9tage d\u2019alimentation \u00e0 dix phases, on trouve deux ports SATA 6 GB\/sec et deux ports USB 3.0. Une des deux connexions USB 3.0 est relay\u00e9e en bas de la carte m\u00e8re de fa\u00e7on \u00e0 \u00eatre redirig\u00e9e vers le panneau frontal.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Une des particularit\u00e9s de cette carte est d\u2019embarquer deux ports PCI Express 2.0 qui sont tous deux c\u00e2bl\u00e9s sur 16 lignes PCIe 2.0, ce qui est rendu possible par une puce Lucid Hydra LT22102\u00a0: cette derni\u00e8re multiplexe les 16 lignes du Core i7 en deux slots 16x tous deux fonctionnant en 16x. Ceci est utile pour maintenir un niveau de performances maximal pour deux cartes graphiques sans empi\u00e9ter (ou presque) sur la bande passante des p\u00e9riph\u00e9riques SATA 6 Gb\/sec et USB 3.0.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n S\u2019agissant du bi-gpu, la puce Lucid Hydra permet non seulement la gestion du CrossFire et du SLI, mais aussi des solutions mixtes\u00a0: outre le fait de pouvoir associer une GeForce \u00e0 une Radeon, il est aussi possible de combiner une GeForce 9000 \u00e0 une GTX 4xx, ce qui est impossible en SLI classique. Il en va de m\u00eame pour ATI, puisqu\u2019une Radeon HD 5000 pourra \u00eatre \u00e9paul\u00e9e par une HD 4000. Nous nous pencherons sur ces possibilit\u00e9s dans un prochain article, lesquelles pourraient en int\u00e9resser plus d\u2019un \u00e0 condition que Lucid am\u00e9liore la compatibilit\u00e9 et la performance de ses pilotes.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Qu\u2019est-ce qu\u2019une carte m\u00e8re r\u00e9cente peut apporter\u00a0?<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n La configuration de 2010 bas\u00e9e sur le chipset Intel P55 apporte globalement une plus grande flexibilit\u00e9 par rapport \u00e0 son homologue de 2007\u00a0: les possibilit\u00e9s d\u2019overclocking se sont am\u00e9lior\u00e9es en plus d\u2019\u00eatre accessibles au plus grand nombre gr\u00e2ce aux fonctionnalit\u00e9s embarqu\u00e9es. Les capacit\u00e9s th\u00e9oriques en multi-GPU sont impressionnantes, mais n\u00e9cessitent des tests approfondis appr\u00e9cier concr\u00e8tement les modes mixtes. Enfin, la consommation et le rendement\u00a0 sont meilleurs tandis que les interfaces comme l\u2019USB 3.0 et le SATA 6 Gb\/sec suppriment des goulets d\u2019\u00e9tranglement. <\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Pour m\u00e9moire, le Core i7 se d\u00e9cline en deux versions\u00a0: sur LGA 1366 (s\u00e9rie 9) avec un contr\u00f4leur m\u00e9moire DDR3 triple canal et quatre \u00e0 six cores physiques, et sur LGA 1156 (s\u00e9rie 8) avec un contr\u00f4leur bi-canal et 4 cores physiques quelque soit le mod\u00e8le. Notre i7 870 grav\u00e9 en 45 nm fonctionne \u00e0 2,93 GHz d\u2019origine et b\u00e9n\u00e9ficie d\u2019un Turbo boost de seconde g\u00e9n\u00e9ration\u00a0: un core peut franchir jusqu\u2019\u00e0 5 paliers de 133 MHz (667 MHz au total) s’il seul en charge. Lorsque deux cores sont sollicit\u00e9s, le gain peut aller jusqu\u2019\u00e0 532 MHz (4 paliers) tandis qu\u2019il est toujours possible de gagner 266 MHz avec trois ou quatre cores actifs pourvu que les limites thermiques le permettent. Gr\u00e2ce au Turbo Boost, le Core i7 sur LGA 1156 fait jeu \u00e9gal dans bon nombre de situations avec la version LGA 1366 pourtant plus haut de gamme. <\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n Tous les Core i7-800 poss\u00e8dent 8 Mo de m\u00e9moire cache niveau L3 (partag\u00e9 entre les 4 coeurs) ainsi que 256 Ko de cache L2 par core. Notre i7-870 a \u00e9t\u00e9 associ\u00e9 avec quatre barrettes OCZ DDR3-1333 1 Go.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n MSI R5870 Lightning<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Comme c\u2019est le cas pour les autres cartes de la s\u00e9rie lightning, cette HD 5870 b\u00e9n\u00e9ficie d\u2019un PCB maison embarquant un \u00e9tage d\u2019alimentation plus pouss\u00e9 ainsi qu\u2019un ventirad plus \u00e9labor\u00e9 que ceux des mod\u00e8les de r\u00e9f\u00e9rence. Si ses fr\u00e9quences d\u2019origine revues \u00e0 la hausse et le potentiel d\u2019overclocking sont bien l\u00e0, son prix moyen de 440 \u20ac la situe au niveau d\u2019une GTX 480 sans pour autant en avoir les performances. Quoi qu\u2019il en soit, il s\u2019agit d\u2019une des cartes mono-gpu les plus puissantes actuellement.<\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n SSD G.Skill Phoenix (100 Go, contr\u00f4leur SandForce SF-1200)<\/strong><\/p>\n\n\n\n\n\n <\/p>\n\n <\/p>\n\n Pour finir, quoi de plus logique que de remplacer le disque dur par un SSD dans notre configuration 2010 ? La s\u00e9rie Phoenix de G.Skill s\u2019appuie sur le contr\u00f4leur SandForce SF-1200 pour assurer de tr\u00e8s bons d\u00e9bits, d\u2019excellentes performances E\/S ainsi qu\u2019une consommation tr\u00e8s faible. Il faut tout de m\u00eame compter 270 euros pour se le procurer, mais on reste dans le m\u00eame ordre de grandeur par rapport \u00e0 notre configuration de 2007 vu que le WD1500 Raptor a \u00e9t\u00e9 lanc\u00e9 \u00e0 plus de 300 euros. On pourrait toujours lui reprocher le fait de ne compter \u00ab\u00a0que \u00bb 100 Go, mais essayer un bon SSD pour stocker OS et programmes, c\u2019est d\u00e9j\u00e0 l\u2019adopter.<\/p>\n![\"Image](\"https:\/\/www.tomshardware.fr\/content\/uploads\/sites\/3\/2010\/09\/2007-vs-2010-system-comparison.jpg\")
<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\nConfiguration 2007 : Intel P35 Express<\/h2>\n
<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\nLes composants de 2007 : Core 2 QX6700, 8800 GTS et WD Raptor<\/h2>\n
<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\nConfiguration 2010 : Intel P55 Express<\/h2>\n
<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\nLes composants 2010 : Core i7-870, Radeon HD 5870 et SSD G.Skill Phoenix <\/h2>\n
<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\n<\/a><\/span><\/span><\/span><\/span><\/p>\n\n\n\n\n\nConfiguration du test<\/h2>\n