S’il faut d\u00e9fragmenter un disque dur au moins une fois par semaine, il ne faut surtout pas d\u00e9fragmenter un SSD.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n La d\u00e9fragmentation du disque dur est \u00e9videmment le moyen le plus efficace de rendre ses performances \u00e0 un ordinateur. Sur un SSD, par contre, il faut absolument l’\u00e9viter, sous peine d’user le SSD. En effet, la d\u00e9fragmentation consiste \u00e0 d\u00e9placer les donn\u00e9es d’un point \u00e0 un autre du SSD (si tant est que la notion ait un sens), ce qui va impliquer des cycles d’\u00e9criture inutiles. <\/p>\n\n\n\n
La pratique<\/h3>\n\n\n\n Cette id\u00e9e re\u00e7ue est totalement vraie<\/strong> : la d\u00e9fragmentation n’a aucun int\u00e9r\u00eat sur un SSD. La premi\u00e8re raison, c’est que le temps d’acc\u00e8s n’est pas variable (du point de vue de l’utilisateur) sur un SSD, donc la \u00ab position<\/em> \u00bb des donn\u00e9es n’a pas d’impact sur les performances, contrairement \u00e0 un disque dur qui doit d\u00e9placer sa t\u00eate de lecture pour chaque cluster. La seconde raison, c’est que l’agencement logique du SSD (le cluster 2 suit le cluster 1 et pr\u00e9c\u00e8de le cluster 3, etc.) n’est pas le m\u00eame que l’agencement physique, g\u00e9r\u00e9 par le contr\u00f4leur. Le cluster 1 est peut-\u00eatre sur la troisi\u00e8me puce de m\u00e9moire, le cluster 2 sur la premi\u00e8re et le cluster 3 sur la huiti\u00e8me.<\/p>\n\n\n\n
Cr\u00e9dit : Microsoft \/ Galaxie Media<\/figcaption><\/figure><\/div>\n\n\nWindows 10 et 11 d\u00e9tectent \u00e9videmment les SSD et d\u00e9sactivent la d\u00e9fragmentation automatique, lorsque vous invoquez l’outil correspondant en effectuant un clic droit dessus puis en choisissant Propri\u00e9t\u00e9s > Outils > Optimiser.<\/p>\n\n\n\n
Au final<\/h3>\n\n\n\n Il ne faut pas d\u00e9fragmenter un SSD, \u00e7a n’a (dans le meilleur des cas) aucun effet. Si vous utilisez un OS r\u00e9cent, c’est automatiquement d\u00e9sactiv\u00e9. Profitez-en toutefois pour faire activement le m\u00e9nage dessus, en ouvrant l’Explorateur (Win+E) puis en cliquant sur la section Ce PC. Effectuez un clic droit sur votre unit\u00e9 principale, choisissez Propri\u00e9t\u00e9s puis Nettoyage de disque. Cliquez ensuite sur le bouton Nettoyage de fichiers syst\u00e8me, afin d’aller plus loin et de supprimer les fichiers r\u00e9sultant des derni\u00e8res mises \u00e0 jour, vous gagnerez plusieurs gigaoctets d’espace !<\/p>\n\n\n\n
Les SSD sont silencieux<\/h2>\n\n\n\n “Les SSD sont totalement silencieux, alors que les disques durs sont tr\u00e8s bruyants.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n Les SSD ne contiennent pas de pi\u00e8ces en mouvement, et sont donc totalement silencieux. Les disques durs ont un moteur, des plateaux qui tournent et \u00e9mettent donc des nuisances sonores. Dans un ordinateur portable, le SSD permet donc d’obtenir un bon silence de fonctionnement.<\/p>\n\n\n\n
Dans la pratique<\/h3>\n\n\n\n Dans la pratique, c’est g\u00e9n\u00e9ralement vrai. La grande majorit\u00e9 des SSD est totalement silencieuse. Dans les faits, c’est un tout petit peu diff\u00e9rent : certains SSD sifflent en fonctionnement, avec un bruit aigu qui est tr\u00e8s vite d\u00e9sagr\u00e9able et qui est parfois plus fort pendant les acc\u00e8s. Ce ph\u00e9nom\u00e8ne est connu sous le nom de \u00ab coil whine<\/em> \u00bb en anglais, mais des recherches sur les termes \u00ab SSD sifflement<\/em> \u00bb ou \u00ab SSD coil whine<\/em> \u00bb donnent \u00e9norm\u00e9ment de r\u00e9sultats. Le ph\u00e9nom\u00e8ne est marginal, mais il existe, et nos recherches n’ont pas permis de d\u00e9terminer la cause exacte de ce sifflement, qui touche tous les mod\u00e8les de SSD.<\/p>\n\n\n\nAu final<\/h3>\n\n\n\n Dans l’absolu, les SSD sont bien silencieux<\/strong>, mais il est possible dans de rares cas qu’ils sifflent. La solution dans ce cas-l\u00e0 est simple : essayer de faire passer le SSD en garantie, quand le probl\u00e8me est reproductible.<\/p>\n\n\n\nLes SSD consomment moins que les disques durs<\/h2>\n\n\n\n “Les SSD n’utilisent pas de pi\u00e8ces mobiles, ils sont bas\u00e9s sur de l’\u00e9lectronique, ils chauffent peu : ils consomment forc\u00e9ment moins qu’un disque dur qui a des plateaux en mouvement, un moteur, qui est bas\u00e9 sur une technologie assez ancienne.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n Le fait de ne pas int\u00e9grer de pi\u00e8ces mobiles n’est pas un argument : les composants qui consomment le plus dans un ordinateur, la carte graphique et le processeur, sont \u00e9lectroniques. Les SSD r\u00e9cents int\u00e8grent beaucoup de puces qu’il faut alimenter, un contr\u00f4leur \u00e9quip\u00e9 de plusieurs cores ARM qui fonctionnent \u00e0 des fr\u00e9quences \u00e9lev\u00e9es, de la m\u00e9moire… Les disques durs, quant \u00e0 eux, sont d\u00e9pendants de la consommation du moteur, mais elle est globalement stable dans le temps et les mod\u00e8les les plus vendus actuellement tournent en moyenne moins vite que ceux d’il y a quelques ann\u00e9es, o\u00f9 une vitesse de 7 200 tours\/minute \u00e9tait la norme.<\/p>\n\n\n\n
La pratique<\/h3>\n\n\n\n Les disques durs 3,5 pouces sont disqualifi\u00e9s : que ce soit en idle<\/em> en ou fonctionnement, ils consomment bien plus que les SSD. Pour les 2,5 pouces, c’est plus mesur\u00e9 : certains mod\u00e8les qui tournent \u00e0 5 400 tours\/minute sont au niveau de certains SSD parmi les plus anciens en idle<\/em>, avec 0,3 W.<\/p>\n\n\n\nCr\u00e9dit : Jean-Marc Delprato<\/figcaption><\/figure>\n\n\n\nEn fonctionnement (ici nous avons consid\u00e9r\u00e9 les valeurs maximales en \u00e9criture), les disques durs ont une consommation qui varie assez peu entre les mod\u00e8les : entre 2,1 W et 3,9 W. Les SSD, dans le m\u00eame cas, consomment parfois moins (1,05 W) et seuls les mod\u00e8les d’entr\u00e9e de gamme ou accusant plusieurs ann\u00e9es d’existence engloutissent une plus grande quantit\u00e9 d’\u00e9nergie (plus de 6 W). Dans ce cas pr\u00e9cis, \u00e0 un instant t<\/em>, les SSD consomment donc plus que les disques durs, contrairement aux id\u00e9es re\u00e7ues.<\/p>\n\n\n\nPour autant, il faut faire la part des choses : les performances par Watt sont beaucoup plus faibles avec les disques durs. Quand un SSD consomme 6 W en \u00e9criture, il \u00e9crit \u00e0 plusieurs centaines de m\u00e9gaoctets par seconde, alors qu’un disque dur classique atteint g\u00e9n\u00e9ralement moins de 100 Mo\/s. Pour une t\u00e2che donn\u00e9e, le SSD consommera donc g\u00e9n\u00e9ralement moins si on travaille sur un volume de donn\u00e9es fixe au d\u00e9part (par exemple un fichier). Si par contre on travaille sur un intervalle de temps fixe (par exemple de l’acquisition vid\u00e9o), le SSD risque de consommer plus. <\/p>\n\n\n\n
Au final<\/h3>\n\n\n\n Le fait qu’un SSD consomme moins qu’un disque dur est donc globalement vrai<\/strong>, m\u00eame s’il faut le nuancer pour des unit\u00e9s plus anciennes. Retenez globalement qu’en l’\u00e9tat actuel des choses, pour des mod\u00e8les r\u00e9cents, les SSD d\u00e9passent rarement les 2 W en fonctionnement et les 0,5 W en veille, alors que les disques durs m\u00e9caniques encore accessibles aujourd’hui atteignent les 5 \u00e0 9 W en lecture\/\u00e9criture et les 5 W en veille. <\/p>\n\n\n\nUn SSD M.2 g\u00e9n\u00e8re beaucoup de chaleur<\/h2>\n\n\n\n “Vous devez pr\u00eater attention aux r\u00e9cents SSD au format NVMe M.2, susceptibles de g\u00e9n\u00e9rer beaucoup de chaleur au sein de votre bo\u00eetier ou du ch\u00e2ssis de votre PC portable. Vos donn\u00e9es seraient en p\u00e9ril, ainsi que l’ensemble des composants \u00e0 proximit\u00e9.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n Encore relativement r\u00e9cents, les SSD au format NVMe M.2 constituent une branche nouvelle du march\u00e9 et d\u00e9brident les d\u00e9bits, avec des vitesses en lecture et \u00e9criture de l’ordre de 3000 \u00e0 5500 Mo\/s, voire au-del\u00e0 pour les mod\u00e8les les plus r\u00e9cents ou d\u00e9di\u00e9s \u00e0 une sph\u00e8re professionnelle, contre 550 Mo\/s pour les SSD SATA classiques. Ils prennent l’apparence d’une “simple” barrette de m\u00e9moire vive \u00e0 enficher dans votre carte m\u00e8re afin d’exploiter le bus PCIe.<\/p>\n\n\n\n
La pratique<\/h3>\n\n\n\n Si vous avez d\u00e9j\u00e0 adopt\u00e9 un SSD depuis plusieurs ann\u00e9es, et si vous avez investi dans une carte m\u00e8re r\u00e9cente, il est tentant d’adopter un support de stockage \u00e0 ce format pour monter encore d’un grand en termes de performances. Et m\u00eame si vous n’avez pas envie de repartir sur de nouvelles bases, sachez qu’il existe des cartes adaptateurs \u00e0 moins de 25 euros qui mettent votre configuration \u00e0 la page. <\/p>\n\n\n\nCr\u00e9dit : Samsung<\/figcaption><\/figure>\n\n\n\nEn pratique, \u00e0 la mani\u00e8re des barrettes de RAM classiques, il existe ensuite des SSD vendus “nus” et au contraire d’autres bard\u00e9s d’imposants dissipateurs de chaleur. Et les hausses de temp\u00e9rature, les unit\u00e9s de ce type les connaissent vraiment : nous avons relev\u00e9 des unit\u00e9s qui d\u00e9passaient all\u00e8grement les 80\u00b0 en plein usage voire au-del\u00e0, ce qui peut r\u00e9ellement handicaper la dur\u00e9e de vie des unit\u00e9s.<\/p>\n\n\n\n
Au final<\/h3>\n\n\n\n C’est une r\u00e9alit\u00e9 : les SSD soumis en permanence \u00e0 une trop forte temp\u00e9rature courent le risque de voir leur dur\u00e9e de vie r\u00e9duite<\/strong>. Pour ce type d’unit\u00e9s, vous avez donc int\u00e9r\u00eat \u00e0 adopter des mod\u00e8les \u00e9quip\u00e9s d’un dissipateur ou encore de ne les int\u00e9grer que sur des cartes m\u00e8res qui pr\u00e9voient \u00e9galement des emplacements dot\u00e9s de tels \u00e9quipements.<\/p>\n\n\n\nUn SSD s’use, il ne faut surtout pas \u00e9crire dessus<\/h2>\n\n\n\n “Les cellules des SSD s’usent et il ne faut surtout pas \u00e9crire sur le SSD.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n Quand on \u00e9crit sur un SSD, on use les cellules qui ont une dur\u00e9e de vie fix\u00e9e \u00e0 l’avance (de 1 500 \u00e0 100 000 cycles selon les mod\u00e8les). Il faut donc, comme l’expliquent des dizaines de dossiers, d\u00e9placer le cache du navigateur, les donn\u00e9es des jeux, le dossier principal de l’utilisateur et plus g\u00e9n\u00e9ralement toutes les zones o\u00f9 un ordinateur va \u00e9crire vers un disque dur.<\/p>\n\n\n\n
La pratique<\/h3>\n\n\n\n Le probl\u00e8me de la dur\u00e9e de vie est largement surestim\u00e9. S’il est vrai que les cellules s’usent avec le temps, les SSD actuels restent tr\u00e8s endurants. Prenons le pire des cas, un mod\u00e8le \u00e0 base de m\u00e9moire TLC avec une capacit\u00e9 faible (128 Go) et une amplification en \u00e9criture \u00e9lev\u00e9e (x10) : il faudra \u00e9crire pr\u00e8s de 20 To pour commencer \u00e9ventuellement \u00e0 avoir un probl\u00e8me. Dans les faits, \u00e7a repr\u00e9sente environ 20 Go de donn\u00e9es par jour pendant 3 ans, ce qui est largement suffisant pour un usage lambda.<\/em> Avec un SSD de plus grande capacit\u00e9 ou un mod\u00e8le \u00e0 base de MLC (ou les deux), la dur\u00e9e de vie augmente tr\u00e8s rapidement.<\/p>\n\n\n\nEn 2011, nous avions us\u00e9 un SSD de 64 Go<\/a> et il a fallu \u00e9crire 600 To environ avant d’avoir un probl\u00e8me. Nos confr\u00e8res de TheReport, r\u00e9cemment, ont us\u00e9 des SSD de 256 Go et il a fallu attendre 100 To avant qu’un mod\u00e8le \u00e0 base de TLC commence \u00e0 utiliser ses cellules de r\u00e9serve et il est toujours vaillant apr\u00e8s 600 To \u00e9crits. <\/p>\n\n\n\nAu final<\/h3>\n\n\n\n Si l’usure est un probl\u00e8me dans certains cas pr\u00e9cis, il ne faut pas s’inqui\u00e9ter de l’usure dans un usage classique<\/strong> : si jamais la m\u00e9moire a un jour un probl\u00e8me, le SSD sera d\u00e9j\u00e0 obsol\u00e8te depuis des ann\u00e9es. <\/p>\n\n\n\nLes donn\u00e9es d’un SSD se r\u00e9cup\u00e8rent facilement<\/h2>\n\n\n\n “Quand un SSD tombe en panne, on peut r\u00e9cup\u00e9rer les donn\u00e9es comme sur un disque dur.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n Quand un SSD (ou un disque dur) tombe en panne, des soci\u00e9t\u00e9s sp\u00e9cialis\u00e9es peuvent r\u00e9cup\u00e9rer les donn\u00e9es si on veut bien mettre le prix, de quelques centaines \u00e0 quelques milliers de dollars. Les soci\u00e9t\u00e9s d\u00e9montent les SSD, r\u00e9cup\u00e8rent la m\u00e9moire et lisent les donn\u00e9es.<\/p>\n\n\n\n
La pratique<\/h3>\n\n\n\n Il est possible de r\u00e9cup\u00e9rer des donn\u00e9es sur une cl\u00e9 USB, un smartphone ou m\u00eame un SSD. Avec un b\u00e9mol : si le SSD est chiffr\u00e9 mat\u00e9riellement (comme la majorit\u00e9 des mod\u00e8les r\u00e9cents) et que le contr\u00f4leur est endommag\u00e9, la cl\u00e9 sera perdue et les donn\u00e9es aussi. De plus, la r\u00e9cup\u00e9ration des donn\u00e9es n’est pas triviale et les laboratoires sp\u00e9cialis\u00e9s sont rares.<\/p>\n\n\n\n
La r\u00e9cup\u00e9ration des donn\u00e9es des SSD et cl\u00e9s USB<\/strong><\/a><\/p>\n\n\n\nAu final<\/h3>\n\n\n\n Une seule r\u00e9ponse : sauvegardez vos donn\u00e9es en pla\u00e7ant une copie sur un disque dur externe (voir plusieurs). Il est possible malgr\u00e9 tout de r\u00e9cup\u00e9rer des donn\u00e9es sur un SSD endommag\u00e9 dans certains cas, mais c’est tr\u00e8s cher et le r\u00e9sultat est al\u00e9atoire<\/strong>.<\/p>\n\n\n\nChiffrer un SSD ralentit l’ordinateur<\/h2>\n\n\n\n “Chiffrer un SSD ralentit consid\u00e9rablement l’ordinateur.<\/em>“<\/p>\n\n\n\nLes faits<\/h3>\n\n\n\n Chiffrer les donn\u00e9es n\u00e9cessite d’effectuer beaucoup de calculs, ce qui ralentit consid\u00e9rablement l’ordinateur. En tout cas quand on utilise un vieux SSD et un processeur d’il y a quelques ann\u00e9es. En r\u00e9alit\u00e9, les SSD r\u00e9cents sont capables de chiffrer \u00e0 la vol\u00e9e avec un composant d\u00e9di\u00e9 et Intel a int\u00e9gr\u00e9 l’encodage AES dans ses derniers processeurs.<\/p>\n\n\n\n
La pratique<\/h3>\n\n\n\n Avec un SSD r\u00e9cent, le chiffrement est automatique et quand on \u00ab active \u00bb le chiffrement, on met simplement en place les fonctions qui font le pont entre le BIOS et le SSD ou \u2014 avec les mod\u00e8les compatibles Opal \u2014 entre Windows et le SSD. De plus, les derniers processeurs Intel (pas tous) disposent des instructions AES-NI qui permettent de chiffrer des donn\u00e9es AES de fa\u00e7on transparente ou presque. Dans de rares cas, le chiffrement a bien un impact : avec un vieux processeur ou avec un vieux SSD. Un autre cas assez rare est quand on utilise un chiffrement comme VeraCrypt ou FileVault 2 (sous Mac OS X) avec un SSD de type SandForce : le chiffrement interf\u00e8re avec la compression de la m\u00e9moire et les performances sont donc affect\u00e9es. Il s’agit d’une perte \u00ab marketing<\/em> \u00bb : les d\u00e9bits th\u00e9oriques ne sont plus atteignables. <\/p>\n\n\n\nAu final<\/h3>\n\n\n\n Dans la grande majorit\u00e9 des cas, le chiffrement est totalement transparent pour l’utilisateur<\/strong> et les cas o\u00f9 la perte de performances est visible sont tr\u00e8s rares.<\/p>\n","protected":false},"excerpt":{"rendered":"Ils sont aujourd'hui incontournables et figurent dans toutes les configurations dignes de ce nom, m\u00eame d'entr\u00e9e de gamme, mais les connait-on vraiment ? Nous passons ici en revue les principales id\u00e9es re\u00e7ues sur les SSD,\u2026<\/p>","protected":false},"author":66,"featured_media":258799,"comment_status":"open","ping_status":"closed","sticky":false,"template":"","format":"standard","meta":{"_acf_changed":false,"ep_exclude_from_search":false,"footnotes":""},"categories":[4068,4073,669],"tags":[496],"hubs":[],"acf":{"post_show_excerpt":true,"post_source":{"title":"Tom's Hardware FR","url":"https:\/\/www.tomshardware.fr\/","target":""},"display_mode":"medium-img","post_show_in_home":false,"hide_sidebar":false,"hide_advertising":false,"post_show_summary":false},"yoast_head":"\n
Les (vraies ou fausses) id\u00e9es re\u00e7ues les plus fr\u00e9quentes \u00e0 propos des SSD<\/title>\n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n \n\t \n\t \n\t \n \n \n \n \n