PolyStation, Treamcast… plongée dans l’abysse des consoles copiées

Plongez dans notre petit musée des horreurs, constellé de contrefaçons aussi improbables qu’ingénieuses mais parfois si … cruelles lorsqu’un enfant les déballe au pied du sapin !

Au royaume de la copie sans scrupule

Image 1 : PolyStation, Treamcast... plongée dans l'abysse des consoles copiées

Alors que la Nintendo 64 fête aujourd’hui ses 24 années d’existence, on se souvient, non sans une certaine émotion, de cette célèbre séquence YouTube où une sœur et son frère déballent, extatiques, la console au pied du sapin. Pas sûr que la même joie les étreigne à la découverte des machines que nous réunissons ici dans notre petite galerie des horreurs ! Parce que le marché des consoles de jeux vidéo est si juteux, il entraîne nécessairement dans son sillon d’innombrables copistes, auteurs d’improbables contrefaçons.

Si, par leur nom et leur aspect, les machines présentées ci-après vous rappelleront sans doute les consoles les plus célèbres de l’histoire du jeu, chacune d’entre elles n’est pourtant qu’une pâle copie de son modèle, incapable de prétendre aux mêmes performances et surtout à la même ludothèque. Difficile toutefois de ne pas sourire devant l’incroyable ingéniosité des contrefacteurs. Surtout si l’on pense aux quelques malheureux ayant reçu l’une de ces machines en pensant avoir affaire à l’original…

Polystation One

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Première de la série des Polystation, elle était au départ vendue sous le nom de Nintendo Polystation, avant que la multinationale japonaise ne fasse les gros yeux pour une sombre histoire de violation de droits d’auteur … L’arnaque ne se limitait pas à son nom puisque censée contenir plus d’un million de jeux, elle en contenait en réalité beaucoup, beaucoup moins, dans la mesure où la plupart – des titres NES piratés – étaient identiques, avec des noms différents … Le logement pour les cartouches était quant à lui plus ou moins habilement dissimulé à la place du plateau de disque qui, du coup, ne pouvait pas être fermé. Certains mauvais esprits y voyaient des toilettes dont on n’aurait pas rabaissé la cuvette. Elle eut le privilège d’être classée, par le site Planet Dolan, en huitième position de la liste de « 10 plus mauvaises imitations de console ».

Game Joy Micro

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Très peu d’informations circulent au sujet de cette contrefaçon plutôt réussie de la Game Boy Micro, si ce n’est qu’il était fort probablement possible, au minimum, d’y jouer à Tetris. Le choix des couleurs s’inspire très clairement de la Game Boy Micro Famicom, lancée en novembre 2005 pour le 20e anniversaire de Super Mario Bros.

PCP Station

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Cette infâme copie de la Sony PSP succéda à la « mythique » POP Station. On ignore si son fabricant a souhaité adresser un clin d’œil à l’industrie pharmaceutique (et aux amateurs de substances prohibées) en la rebaptisant ainsi, mais son nouveau nom fut très souvent raillé, car le PCP est aussi le nom d’un anesthésique retiré du marché dans les années 70, car trop dangereux, et classé depuis dans les substances psychotropes hallucinogènes … Ce n’est cependant pas la seule raison au très modeste succès qu’elle a rencontré puisqu’elle était par ailleurs d’une conception de très mauvaise qualité, en plus d’être équipée de jeux LCD anciens et obsolètes et dotée de nombreux boutons qui ne fonctionnaient pas tous.

JXD S5100

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Sortie en 2012, cette console portable JXD S5100 proposée par la société chinoise Jin Xing empruntait très clairement à la fois à la Wii U et à la Nintendo 3DS. Elle était animée par un processeur ARM Cortex A9 1,2 GHz, était dotée d’un écran de 5 pouces, de 512 Mo de mémoire DDR3, de 4 Go pour le stockage, du Wi-Fi et d’une batterie de 3 400 mAh. Elle pouvait hériter par ailleurs de 200 000 jeux issus, entre autres, des univers Gravity, Sony PS1, Nintendo N64, Sega MD… Un improbable cocktail, à la gueule de bois assurée.

The WLL

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Conçue par la fine équipe ayant déjà sévi avec la POP Station et la PCP Station, cette console ultra portable baptisée WLL se présente tout simplement sous la forme d’une Wiimote. Mais contrairement à la manette de Nintendo, celle-ci dispose, en son milieu, d’un espace où l’on peut insérer des cartouches de jeux équipées d’un petit écran, livrées avec l’appareil. Qui a dit que l’on avait touché le fond … ?         

Battman

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Admirez cet emballage, qui s’approprie sans vergogne le nom et l’image de l’un des super héros les plus populaires de tous les temps (notez les deux T à Battman pour brouiller les pistes). Signe du mauvais goût ultime, la Battman s’inspire du pire épisode de la franchise (Batman Forever, avec George Clooney, certes, mais surtout la bat-carte de crédit et les bat-tétons, que l’on doit au récemment disparu Joel Schumacher).

La Battman reprend le châssis de la première Xbox dans une version criarde, et s’accompagne de deux manettes honteusement copiées sur celles de la première PlayStation. Pourquoi pas après tout. À cela vient s’ajouter un pistolet assez inquiétant. Et côté matériel me direz-vous ? Et bien il semblerait que cette console embarque un émulateur NES si l’on en croit la cartouche de Famicom qui accompagne le bundle. Du grand art !

Vii

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Construite par la firme chinoise Jungle Tac, la Vii est, comme son nom et sa forme le suggèrent très subtilement, une copie de la Nintendo Wii. Comme son modèle, cette console nous propose d’entrer de plain pied de le monde du motion gaming grâce à ses contrôleurs sans fil à détection de mouvement. Ne vous attendez cependant pas à retrouver la « précision » de la Wii puisque ces Vii Motes ne peuvent pas être utilisées comme pointeur.

Véritable monstre de puissance, cette console a été construite autour de la puce 16 bits Sunplus SPG afin de proposer des jeux dignes d’une Super NES, tout en proposant 8,5 Mo pour stocker les sauvegardes de jeux. Pour le reste, la Vii inclut une ludothèque interne de 16 jeux, qu’il est possible d’étendre par le biais de cartouches additionnelles avec des titres tels que Happy Tennis, Alacrity Golf ou encore Fry Egg.

Game Child

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Si vous avez hanté les fêtes foraines dans les années 90, nul doute que vous avez déjà croisé la route de la Game Child. Il est aussi possible que vous ayez englouti vos économies afin de gagner cette contrefaçon en pensant obtenir ce que vous pensiez être la sacro-sainte Game Boy. Tant d’efforts pour rien.

Copie presque parfaite de la Game Boy, cette Game Child est un véritable cas d’école en matière de contrefaçon. Son aspect extérieur, le code couleur utilisé, la typographie, tout est là pour donner l’impression de tenir entre ses mains la console portable de Nintendo, alors même que l’on se retrouve avec une babiole, loin de valoir les Game & Watch et autres Tiger.

i-dong

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Outre son nom rigolo pour toute personne familière avec la langue de Shakespeare, l’i-dong est un périphérique plus qu’une console à proprement parler. Fortement inspiré par le design et le principe du Kinect de Microsoft, l’i-dong se connecte à une box ou à un PC pour proposer plusieurs expérience de motion gaming.

Côté matériel, cette contrefaçon embarque une caméra et des LED infrarouges qui se chargent de la captation de mouvement. Du moins, tant que l’utilisateur se sert du contrôleur fourni avec (qui ressemble au passage à un PlayStation Move) et qui comporte une surface réfléchissante chargée de renvoyer la lumière des LEDs Infrarouges vers la caméra. Un système assez primitif en matière de détection de mouvement, mais relativement efficace.

M-Gage

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Vous l’avez peut-être oublié, mais Nokia a participé, il y a quelques années de cela, à la belle aventure du jeu vidéo en nous gratifiant d’une console portable : la N-Gage. Échec commercial patent, cet hybride de console et de téléphone portable souffrait d’une ergonomie catastrophique qui le rendait difficile à utiliser à la fois comme téléphone et comme console de jeu (ce qui est un vrai problème).

Cela n’aura pourtant pas empêché quelques petits malins de produire la M-Gage. Cette contrefaçon fait cependant l’impasse sur la partie téléphonie afin de nous proposer une console de jeu. Et quelle console ! Avec pas moins d’une dizaine de jeux dignes d’un authentique 3310, et des fonctions aussi cool que la calculatrice et le chronomètre, la M-Gage est une copie qui en jette.

Mini PolyStation 3

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Dans le monde très fermé de la contrefaçon de consoles de jeu, la marque Polystation est sans aucun doute l’une des plus prolifiques. Comme son nom le laisse entendre, cette gamme de console s’inspire « très fortement » du design des machines de Sony. Ce que son nom ne laisse pas entendre cependant, c’est que les PolyStation sont en réalité des clones de machines Nintendo 8 ou 16 bits, proposant la plupart du temps de roms de jeux hackées (un personnage est ainsi remplacé par un autre).

Cette Mini PolyStation 3 pour sa part est une version miniature de la PlayStation 3 à la différence près qu’il s’agit d’une console portable. Fonctionnant sur pile, cette console comporte un écran LCD (de piètre qualité) escamotable qui se range à l’endroit du lecteur CD, ainsi que deux manettes proprement minuscules qui rendent le tout très pénible à jouer.

Neo Double Games

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La Neo Double Games est une console qui a pour modèle la première version de la Nintendo DS (la DS Tank pour les connaisseurs). Comme l’on peut légitimement s’y attendre avec une machine de ce genre, la copie est bien loin d’égaler l’originale puisque cette Neo Double Games est un bête jeu LCD tout droit venu des années 90.

Il faudra cependant noter un certain jusqu’au-boutisme chez les auteurs de cette Neo Double Games qui propose, comme son modèle, deux écrans distincts et fonctionnels. Enfin presque, puisque les écrans faisant aussi office de cartouche de jeu, seule la partie haute de la console permet d’afficher « l’image ». L’écran du bas pour sa part, sert tout simplement à accueillir le jeu qui n’est pas en cours d’usage…

Ouye

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Si le nom de cette console vous rappelle fortement celui de la OUYA, ce n’est pas un hasard, car elle est sans nulle doute la base-même de cette Ouye. Dévoilée en 2015 sur le site de financement participatif JD Finance, un équivalent chinois de Kickstarter, cette machine s’articule autour d’un processeur octo-cœur Allwinner A80, un GPU Power VR G6330, 2 Go de Ram (DDR3) de manière à tourner sous Android KitKat. De quoi en faire une machine déjà dépassée, et bien incapable de faire tourner les jeux actuels.

Cerise sur le gâteau, cette console ne s’inspire pas uniquement de la Ouya puisqu’elle affiche un design soi-disant original, mais qui rappelle tout de même fortement celui d’une PlayStation 4 sur laquelle on aurait collé les grilles d’aération de la Xbox One. Histoire d’en rajouter une couche, les manettes sont pour leur part « fortement » inspirée par celle de la Xbox One.

POP Station

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Vous l’aurez compris en lisant le nom de cette console, la POP Station n’est autre qu’un clone de la PSP de Sony. La PSP s’avérait à la pointe de la technologie en son temps, la POP lui est diamétralement opposée. En effet la POP Station adopte une technologie similaire à celle des Game & Watch Super Color de Nintendo.

Si nous vous présentons ici l’un des premiers modèles de la série (avec son sticker reprenant l’interface de la PSP), sachez qu’il existe une tripotée de déclinaisons reprenant le design des différentes itérations de la console de Sony (comme la PSP Go) ou bien des modèles possédant des cartouches amovibles.

Power Player SuperJoystick

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La Power Player SuperJoystick est sans aucun doute l’une des machines les plus originales présentes dans ce dossier. Regardez attentivement le packaging de cette console, et essayez de découvrir où se trouve la console. Vous ne trouvez pas ? Hé bien c’est normal, car le pad de N64 que vous voyez là n’est absolument pas une manette, mais bel et bien une console, tandis que la manette de Mega Drive qui l’accompagne sert de pad.

Machine plug & play tout ce qu’il y a de plus classique, cette Power Player SuperJoystick contient en son sein une puce MOS Technology 6502, un microprocesseur 8 bits autrement connu comme la « NES on a chip ». Cette console contient quelques 76 jeux issus de la ludothèque NES, même s’il sera possible de repérer quelques créations originales du constructeur dans le lot.

Super Megason 4

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La Super Megason IV est un cas extrêmement classique de contrefaçon de console. Reprenant l’apparence de la PS One (version « slim » de la première PlayStation), cette machine renferme, comme beaucoup d’autres, le hardware d’une NES. De manière classique, toujours, elle est livrée avec deux manettes de piètre qualité, un lightgun ainsi qu’une cartouche contenant des romhacks de jeux NES.

Ce qui diffère en revanche, c’est le peu de soin apporté au packaging de cette console. Là où la plupart des contrefacteurs font preuve d’un minimum de bon sens pour essayer de tromper le monde, la firme à l’origine de la Super Megason IV a préféré nous livrer ce visuel assez étrange avec ce jeune homme au sourire crispé, flottant au-dessus de notre chère planète bleue.

Super Polystation 2

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La Mini PolyStation 3 était une copie portable de la PlayStation 3, voici sa grande sœur, la Super PolyStation 2. Il s’agit ici d’une console de salon adoptant la forme, comme son nom l’indique, de la PlayStation 2, mais avec les entrailles d’une SuperNes.

De manière assez classique avec cette gamme de console, il sera possible de découvrir un port cartouche SNES habilement dissimulé sous le clapet du lecteur CD. Mais ce n’est pas là le plus intéressant. La Super PolyStation 2, atteint un niveau de tromperie inégalé puisque la boîte nous promet pas moins de 99 999 999 jeux disponibles, dont des titres tels que Sonic, Street Fighter (ce qui pourrait être possible compte tenu du hardware) ou bien encore Gran Turismo (sur un équivalent à la SNES donc).  

Treamcast

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La Treamcast est une console à part dans ce dossier dans la mesure où il ne s’agit pas véritablement d’un clone, mais plutôt d’un mod de la Dreamcast produit à grande échelle. En effet, la Treamcast utilise en grande partie le firmware et le hardware de son modèle avec quelques fonctionnalités supplémentaires comme la possibilité de lire tous les jeux Dreamcast sans restriction de zone, tout comme les jeux gravés.

Les fabricants de la Treamcast sont même allés plus loin en ajoutant un écran LCD directement à la console. S’il était possible de trouver ce genre d’accessoires pour la console de Sega, il est ici directement intégré au corps de la console, la rendant ainsi utilisable dans toutes sortes de circonstances.

WiWi

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La WiWi, vous l’aurez compris, est un autre clone de la célèbre Wii de Nintendo. Tout comme la Vii présentée un peu plus tôt, cette console se base sur une architecture semblable à celle de la Super Nes pour proposer une ludothèque 16 bits sur laquelle vient se greffer la reconnaissance de mouvement de la machine. Là encore, le tout étant assuré par un système à infrarouge assez basique et peu précis.

Contrairement à la Vii cependant, cette WiWi ne cherche pas à reproduire fidèlement la console de Nintendo en offrant une coque plus « originale » avec ses inserts en plastique bleus, et sa forme plus arrondie. Notez aussi que la machine est livrée non seulement avec des WiWimotes, mais aussi un pad et divers accessoires à raccorder aux WiWimotes (club de golf, raquettes de ping pong) pour plus de réalisme.

X-Game 360

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La X-Game 360 est une console… intéressante. À l’instar de nombreuses autres machines que nous vous avons présentées dans ce dossier, il s’agit d’une console s’articulant peu ou prou autour des entrailles d’une NES, et possédant donc une ludothèque 8 bits assez typique faisant la part belle aux rom-hacks de jeux connus. Un grand classique de la contrefaçon donc.

Là où le constructeur a un tantinet perdu les pédales, c’est sur le look de sa console. Car si l’on reconnaît globalement le produit de Microsoft, difficile de confondre la X-Game 360 avec une Xbox 360. Que ce soit les horribles manettes ou la présence d’un gigantesque X en plastique vert sur le dessus de la machine, impossible de se planter. Enfin presque, parce que l’emballage de la machine, lui, s’avère quasi-identique à son modèle, prêtant ainsi fortement à confusion.

Nanica Smitch

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Le succès de la Switch n’est pas à démontrer, notamment grâce à son fonctionnement hybride entre une classique console de salon et une pure machine portable, et il n’est donc pas surprenant qu’elle fasse rapidement l’objet d’une contrefaçon. Avec la Nanica Smitch, les faussaires visent clairement à duper le consommateur, jusqu’au packaging très ressemblant et le code couleur des Joy-Con de part et d’autre de l’écran de 5,5 pouces. 

Si elles sont bien détachables, les deux manettes ne sont évidemment en rien capables d’assurer le fonctionnement des authentiques contrôleurs, et n’intègrent pas d’accéléromètre ou de moteur haptique. Lancée sur le marché colombien pour moins de cinquante euros, la console se targue d’intégrer “plus de 800 jeux”. La promesse est évidemment fallacieuse et, à l’image du Mario issu de Super Mario Bros. 3 sur la boîte, il s’agit essentiellement d’une innommable collection de ROMs de l’ère 8 bits. La Nanica Smitch reste toutefois capable de fonctionner en mode portable, avec des piles dans le ventre, et de se connecter à un téléviseur via un câble RCA. Cela n’efface en rien l’immondice du procédé.

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