Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Le X300 de Lenovo

Il y a quelques semaines, au moment du lancement du MacBook Air d’Apple, des rumeurs sont apparues : Lenovo allait présenter un ultraportable 13 pouces. Le 26 février, après quelques semaines d’informations parfois contradictoires, Lenovo a annoncé le X300.

Image 1 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Ce PC portable très haut de gamme est comparable sur deux points au MacBook Air : son prix, près de 3 000 euros, et son format : 13,3 pouces. Le reste est assez différent et le X300 cible clairement un public différent de la machine d’Apple. Pour autant, il ne nous paraît pas irréaliste de les comparer.

Notre dossier se concentre sur la partie matérielle du X300, alors que celui de nos collègues de Tom’s Guide est plus axé sur l’ergonomie de la machine et la partie logicielle.

Une cible professionnelle

Le X300 cible un public différent de celui du MacBook Air : alors que la machine d’Apple est plus grand public qu’elle ne laisse paraître (elle est d’ailleurs dans la gamme classique du constructeur), Lenovo vise les professionnels.

Le design, sobre et beaucoup moins tape-à-l’oeil que celui d’Apple, le prix (3 000 euros en version de base) et certaines des options du X300 montrent bien que la machine n’a rien de grand public et que Lenovo veut vendre sa machine aux personnes qui ont besoin de travailler et uniquement à celles-là.

Pour autant, le X300 n’est pas non plus une machine dénuée d’intérêt pour les utilisateurs classiques : avec son écran de 13,3 pouces, il est fin et léger et les personnes qui ont besoin d’une machine de moins de 1,6 kg et bien équipée pourront être intéressées par le X300.

Le point intéressant de ce X300, c’est qu’en dehors du fait qu’il utilise une plateforme basse consommation, il est très bien équipé et il ne lui manque pas d’options essentielles.

Le processeur L7100 du X300

Commençons par un point intéressant : le processeur du X300. Lenovo utilise un processeur Core 2 Duo L7100. Ce modèle, qui n’apparaît pas sur le site d’Intel, est assez particulier.

Un Core 2 Duo SFF

Comme le processeur du MacBook Air, le L7100 utilise un package SFF (Small Form Factor). L’avantage est simple : le processeur prend moins de place sur la carte mère. Il est donc évidemment soudé à cette dernière et ne peut pas être changé. Sa fréquence est faible (1,2 GHz) et son TDP annoncé n’est que de 12 W.

Le problème de la fréquence

Le L7100 est annoncé à une fréquence de 1,2 GHz, en bus 800 MHz (200 MHz QDR). Pourtant, lors de nos premiers tests, CPU-Z nous renvoyait une fréquence de 1,6 GHz (8x 200 MHz). Après quelques recherches, et avec l’aide de France Delattre, nous avons trouvé la raison de cette fréquence aberrante : le dynFSB d’Intel.

En réalité, le processeur fonctionne à 1,2 GHz (6x 200 MHz) en charge, et une fois qu’il passe en économie d’énergie, la technologie du dynFSB se met en route. Et le problème vient de cette dernière : pour diminuer la consommation, Intel s’arrange pour que le processeur se comporte comme un processeur à 800 MHz, en incluant des cycles d’attente sur le FSB et en augmentant le coefficient multiplicateur à 8x au lieu de 6x. Le FSB est donc bien cadencé à 200 MHz (et le processeur à 1,6 GHz) au repos mais un cycle d’attente vient s’intercaler entre chaque cycle processeur, et le Core 2 Duo se comporte donc comme un modèle équipé d’un FSB à 100 MHz (et donc comme s’il fonctionnait en réalité à 800 MHz).

Pourquoi inclure des cycles d’attente ?

Intel utilise cette technique car elle est simple à mettre en oeuvre, mais surtout très rapide à activer. Modifier réellement la fréquence du FSB serait évidemment une solution plus élégante, mais elle nécessiterait aussi de modifier toutes les horloges synchronisées sur le FSB (mémoire, PCI-Express, PCI, etc.). De plus, le changement de FSB à la volée, même s’il est possible, nécessite bien plus de cycles que l’insertion de cycles d’attentes.

Au final, même si CPU-Z (et d’autres outils) indique une fréquence (réelle) de 1,6 GHz au repos, il faut bien comprendre que le processeur se comporte comme un modèle à 800 MHz. Notons qu’une version spéciale de CPU-Z permet d’afficher la fréquence “relative”, comme vous pouvez le voir dans les captures.

La mémoire, la carte graphique, les extensions internes

Lenovo utilise une plateforme Santa Rosa, avec son chipset GM965. Le X300 utilise donc de la DDR2-667 (2 Go d’origine) en dual-channel et un contrôleur graphique GMA X3100.

La mémoire

Lenovo propose de la DDR2-667 dans son X300. Par défaut, la machine est livrée avec 2 Go de mémoire (deux barrettes de 1 Go). Contrairement à beaucoup d’ultraportables, la mémoire est ici intégrée dans deux emplacements SO-DIMM tout à fait classiques : passer à 4 Go est donc assez simple.

Image 2 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

La carte graphique

La carte graphique est un classique GMA X3100. Attention, ultraportable oblige, il s’agit de la version ralentie du X3100 : alors que la version classique fonctionne à 250 MHz sur batterie et 667 MHz au maximum, dans le X300 les fréquences passent à 166 MHz et 500 MHz. De quoi grappiller quelques minutes d’autonomie, au détriment des performances. Soyons clairs, le GMA X3100 ne permet absolument pas de jouer avec le X300, et l’écran de la machine (en 1 440 x 900) n’aide pas du tout le contrôleur Intel. Pour une application comme Google Earth ou pour Aero (l’interface de Windows Vista), c’est suffisant, mais c’est à peu près tout.

Les capacités d’extensions

Point intéressant, le X300 est capable de recevoir des cartes d’extension. La mémoire vive est accessible et une trappe permet aussi d’atteindre les emplacements Mini Card. Pour rappel, le Mini Card est le pendant PCI-Express du Mini PCI, et permet de rajouter des cartes d’extensions dans un PC portable. Le Mini Card, en plus du lien PCI-Express 1x (250 Mo/s) propose aussi un lien USB 2.0 (60 Mo/s). Le X300 dispose de trois emplacements Mini Card : le premier contient la carte Wi-Fi (Intel 4915AGN), le second la carte 3G (Sierra, en USB) et le dernier était libre dans notre exemplaire de test mais peut recevoir une carte WiMAX ou Wireless USB.

Image 3 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?Image 4 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

La connectique du X300 : complet

Le X300 offre une connectique externe intéressante, et pratiquement rien ne manque. C’est nettement plus intéressant qu’un autre portable 13,3 pouces que nous avons testé récemment.

Trois USB, de l’Ethernet, etc.

Sur la tranche gauche, on retrouve deux ports USB (bien séparés) et deux prises jack 3,5 mm : une entrée micro et une sortie casque. L’arrière du PC portable propose un troisième port USB, une sortie RJ45 (Ethernet gigabit), une sortie VGA et une prise pour le chargeur. Notons aussi un interrupteur qui permet de déconnecter toutes les interfaces radio (Wi-Fi, Bluetooth, 3G). Enfin, la tranche gauche propose un lecteur optique (remplaçable par une batterie) et une encoche pour un cadenas de type Kensington.

Image 5 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?Image 6 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?
Image 7 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Sous le portable

Si on retourne le X300, on retrouve une trappe qui permet d’accéder facilement au SSD (une vis à enlever), une deuxième pour accéder à la mémoire et à deux emplacements MiniCard et une vis qui bloque le lecteur optique. La batterie (dans notre exemplaire de test une 6 cellules de 43 Wh) s’enlève facilement. Près de cette dernière, on peut remarque les gouttières qui permettent d’évacuer l’eau du clavier (nous y reviendront). Enfin, sous la batterie on peut retrouver l’emplacement qui contient la carte SIM.

Image 8 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Les défauts

Même si le X300 est bien équipé, on peut lui trouver trois défauts de connectique. Le premier, c’est l’absence de FireWire. Cette norme est très courante dans les disques durs externes et elle est bien plus rapide que l’USB en pratique. La seconde, c’est le fait que Lenovo propose une sortie VGA et pas DVI. Même si le VGA est plus intéressant dans certains cas (notamment avec les projecteurs), c’est une interface en fin de vie. La dernière, c’est l’absence d’ExpressCard. Cette interface est intéressante pour brancher des cartes eSATA ou FireWire, par exemple. Malgré tout, ce format est essentiellement utilisé pour des cartes HSDPA et le X300 intègre déjà cette interface en interne.

Le stockage : complet et rapide

Le X300 est intéressant sur deux points : il propose un SSD de série et il intègre un graveur de DVD.

Le SSD : 64 Go en 1,8 pouce

Le SSD choisi par Lenovo est un modèle Samsung de 64 Go (MCCOE64G8MPP). Au format 1,8 pouce (8 mm), il utilise une interface récente, le micro SATA. Cette interface, dédiée aux disques 1,8 pouce, utilise le même connecteur que les disques classiques pour les données, mais pas pour l’alimentation. Cette interface particulière nous a empêchés de tester le SSD dans une autre machine. Ce SSD, qui n’est pas réellement disponible chez Samsung, utilise des blocs de 256 Ko et de la mémoire SLC (la plus rapide). Nous avons pu mesurer une vitesse en lecture de 80 Mo/s avec un temps d’accès de 0,2 ms.

Comme on peut le voir, le premier résultat (HD-Tune) montre une vitesse plus faible, car le programme utilise par défaut une taille de bloc de 64 Ko. En utilisant des blocs de 256 Ko, plus adaptés à l’architecture du SSD, les débits s’envolent.

Un graveur de DVD très fin

Lenovo a réussi à intégrer un lecteur optique dans le X300 : un Panasonic UJ-844. Ce graveur ATA ne mesure que 7 mm d’épaisseur et utilise un tiroir qui semble fragile. Il grave les DVD, les CD et même les DVD-RAM. Notons que le lecteur optique est rapide : nous avons pu importer un CD audio en 3 minutes 23 secondes alors que le MacBook Pro (équipé d’une unité ultra slim de 9,5 mm) prend 3 minutes 45 pour la même tâche (2 minutes 47 pour le lecteur slim du MacBook Air, en externe).

Remplacer les unités de stockage

Le SSD du X300 est facilement accessible, mais rien ne peut actuellement le remplacer : les appareils à la norme micro SATA sont très rares. Notons qu’un disque dur 1,8 pouce de 120 Go avec une vitesse de rotation de 5 400 tpm existe, mais Lenovo ne semble pas être intéressé. Le lecteur optique, quant à lui, est remplaçable par une batterie 3 cellules. Pour les utilisateurs qui voudraient remplacer le lecteur optique par un disque dur (comme sur d’autres modèles Lenovo), rappelons que ce lecteur ne mesure que 7 mm d’épaisseur : moins que la majorité des disques durs. Seul un disque dur 1,8 pouce de 5 mm d’épaisseur pourrait physiquement rentrer, et ces derniers plafonnent à 80 Go.

L’écran, le clavier et les systèmes de pointage

L’écran du X300 est assez intéressant, car il est très bon et très mauvais en même temps. Très bon, car sa résolution est élevée (1 440 x 900) et il utilise une dalle mate. Très mauvais car la luminosité est faible sur batterie et les angles de vision sont étriqués. En pratique, il est exécrable pour regarder un DVD (par exemple) et très bon pour faire de la bureautique, où l’espace de travail est intéressant (la majorité des écrans de 13,3 pouces ne proposent que du 1 280 x 800).

Image 9 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Le clavier

Le clavier du X300 est de bonne qualité, et répond bien à la frappe. Il est résistant à l’eau (un système de rigole permet d’évacuer le liquide) et il est complet. Les touches de raccourcis sont nombreuses, et on retrouve des boutons dédiés à la gestion du son. Une touche d’accès à la suite ThinkVantage est présente, ainsi qu’une combinaison de touches pour allumer la Thinklight (une lampe placée sur le haut de l’écran qui éclaire le clavier). Petit défaut pour certains, le Fn est à gauche et pas à droite de la touche Ctrl. En pratique, c’est une question d’habitude, mais une touche Ctrl accessible à l’extrême gauche est généralement considérée comme plus pratique que la touche Fn.

Image 10 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?Image 11 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Trackpad et trackpoint

On retrouve deux systèmes de pointage sur le X300 : un trackpad classique, peu précis et un peu petit, et un excellent trackpoint. Ce dispositif de pointage, marque de fabrique des Thinkpad, est très précis et c’est surtout le seul moyen de continuer à taper en déplaçant le curseur. Les boutons gauche et droit sont doublés : deux pour le trackpad et deux pour le trackpoint (sous le clavier).

Image 12 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?Image 13 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Quelques raffinements ergonomiques

On retrouve aussi une webcam (de qualité moyenne), la Thinklight qui éclaire le clavier, un lecteur d’empreintes à droite du trackpad et quelques LED qui indiquent les fonctions utilisées et activées. Notons que les enceintes (stéréo) du X300 sont de bonne qualité (pour un PC portable) mais que leur emplacement est critiquable : dans les deux coins inférieurs du PC, juste sous les bras des utilisateurs.

Image 14 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Pour les questions d’ergonomie, nous vous rappelons que le test de nos collègues de Tom’s Guide insiste plus sur ce point.

Le sans-fil à l’honneur

Le X300 est un PC portable qui est dédié au sans-fil : il propose la 3G, le Wi-Fi 11n et le Bluetooth. De plus, le WiMAX et le Wireless USB sont en option.

La carte 3G

La carte 3G intégrée support la majorité des normes du marché : HSDPA (jusqu’à 7,2 mégabits/s), UMTS (384 kilobits/s), EDGE (236 kilobits/s), GPRS (60 kilobits/s) et GSM (9,6 kilobits/s). Elle est interfacée en USB en interne et la qualité de réception est bonne. Le logiciel indiquait une réception nettement meilleure (10 à 20 % de plus) qu’avec notre modem ExpressCard.

Image 15 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Le Wi-Fi et le Bluetooth

Lenovo utilise une carte Wi-Fi classique : la 4965AGN. Interfacée en PCI-Express, elle capte parfaitement les réseaux Wi-Fi de notre laboratoire de test. Faute de point d’accès Wi-Fi 11n, nous n’avons pas pu tester les résultats avec cette norme. Le Bluetooth est aussi intégré, aussi en USB (interne). Les tests avec un clavier se sont bien passés, tout comme le transfert de fichiers (la puce est un modèle Bluetooth 2.0 + EDR). Le WiMAX et le Wireless USB sont disponibles en option, mais notre modèle de test n’était pas équipé de ces deux technologies.

Image 16 : Lenovo X300 : mieux que le MacBook Air ?

Vidéo et tests

Pour le test, nous avons comparé le Lenovo X300 et le MacBook Air. La batterie de tests est la même que celle que nous avions utilisée pour comparer le MacBook Air SSD et la version disque dur.

Le démarrage

Windows Vista démarre deux fois moins vite que Mac OS X. Ce n’est pas directement comparable, mais Mac OS est donc plus rapide sur ce point. Heureusement, on ne démarre pas son ordinateur toutes les heures.

Photoshop CS3

Le lancement de Photoshop CS3 est comparable sur les deux machines, même si la version Windows est plus rapide. Notons qu’au contraire, au chargement d’une image, la version Mac OS X est plus rapide.

La suite des tests et l’autonomie

Pour la suite des tests, nous avons utilisé Microsoft Office sur les deux machines et effectué un test pratique, la décompression d’une grosse archive.

Le lancement de Microsoft Word (2008 sur Mac, 2007 sous Windows) est intéressant à comparer : alors que la version Windows se lance presque instantanément, la version Mac est très lente.

Décompression de fichiers

Pour le dernier test, nous avons essayé de décompresser une archive (.rar) qui contenait quelques gros fichiers (environ 500 Mo) et énormément de petits fichiers (moins d’1 Mo). Sur ce test précis, nous avons voulu montrer un des défauts des SSD, l’écriture de petits fichiers. Malgré tout, le SSD du X300 est nettement plus rapide que celui du MacBook Air, et ça se voit.

L’autonomie

Avec un processeur basse consommation et un écran LED, le X300 devrait être autonome. Lenovo parle de 6 heures 30 avec la batterie 6 cellules de notre modèle de test. Avec une batterie à la place du lecteur optique, Lenovo parle de 10 heures.

En lecture de DVD

En lecture de DVD, avec l’écran réglé au minimum, nous avons tenu seulement 2 h et 14 minutes. Assez pour regarder la majorité des films, mais c’est un peu léger dans l’absolu. De plus, l’écran n’est pas très adapté à la lecture de films.

En 3G

Notre autre test a consisté à utiliser le X300 avec la connexion 3G. En désactivant le Wi-Fi et le Bluetooth et en utilisant l’écran réglé sur 7 barres (sur 15), nous avons pu travailler pendant 4 heures et 25 minutes. En diminuant la luminosité et en désactivant la 3G, les 6 heures annoncées doivent être atteignables, mais le confort d’utilisation sera évidemment plus faible avec la luminosité au minimum.

Pour les amateurs d’autonomie, rappelons que Lenovo propose une batterie 3 cellules qui remplace le lecteur optique, pour améliorer l’autonomie. Attention, le changement nécessite un tournevis, ce qui est peu pratique.

Conclusion : mieux que le MacBook Air

Pour terminer, que penser du X300 ? C’est une machine excellente. Ses rares défauts sont anecdotiques pour les professionnels et ses avantages sont nombreux. Mais il reste un gros problème : le prix. Lenovo a considéré que seul le SSD est un choix intéressant, et le X300 utilise donc obligatoirement ce coûteux dispositif de stockage. Le prix grimpe donc, et la version de base vaut près de 2 500 HT (soit environ 3 000 euros). Malgré tout, la machine les vaut et comparativement aux autres ultraportables du marché, ce n’est pas excessif : le MacBook Air SSD est vendu au même prix, sans être aussi intéressant du point de vue technique.

Pour les adeptes de l’import, le X300 équipé de la même façon que notre modèle de test vaut 3 132 $ aux États-Unis. Au taux de change actuel, cela représente 2 010 euros, à comparer aux 2 990 euros demandés en France.

Lenovo X300
Une machine complète, efficace, pratiquement sans défauts. Elle est juste à réserver aux professionnels, essentiellement à cause de son prix élevé (près de 3 000 euros).
  • Les plus
  • Les moins
    • Le poids
    • La connectique
    • L’écran LED
    • Le design, pour certains
    • L’ergonomie sans failles
    • Les performances en 3D et en calcul
    • Le design, pour d’autres
    • Le prix