Call of Duty

Du matériel assez ancien pour la configuration recommandée.

L'une des solutions l'emporte à la fois sur le plan visuel et sur celui des performances.

Le jeu prend en charge à la fois le DLSS de NVIDIA et le FSR d'AMD.

Jusqu’à 70 % de hausse du nombre d’images par seconde moyen en 4K.

Selon la société, le DLSS augmente le nombre d’images par seconde jusqu'à 85 % sur le titre, en 4K.

Le poids du jeu réduit de moitié en quelques jours ; une belle prouesse !

Sur le premier, la carte de NVIDIA dépasse les 100 images par seconde.

Comme son prédécesseur Modern Warfare, le prochain COD prend beaucoup de place.

Désormais, il est possible de supprimer certaines parties du jeu pour gagner de la place.

Où comment constater plus de dix ans de progrès en quelques minutes.

Pour le processeur, un modèle double cœurs avec Hyper Threading fait également le job.

Une machine relativement modeste suffit pour profiter du jeu d’Activision Blizzard, mais il faut un gros disque dur.

Nos comparaisons avec et sans ray tracing du dernier Call of Duty montrent des ombres plus exactes, mais pas vraiment flagrantes dans l'action.

Bien sûr, ça se passe sur PC. De quoi attendre sereinement que le titre soit téléchargé.

Pour le reste, ce dernier Call of Duty se contentera d'un PC relativement modeste, toutefois, on n'a pas de nouvelle du ray tracing.

Un joueur décortique le netcode de la bêta, et les résultats ne sont pas glorieux. Même Call of Duty Black Ops 4 fait mieux !

De quoi profiter du ray tracing et du VRS dans CoD.

Faites votre choix !

On y est... presque !

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