Processeurs

Des scores graphiques sans appel : 64,63 ips en GT1 et 89,41 ips en GT2 pour l’AMD, 27,79 ips en GT1 et 32,05 ips en GT2 pour l’Intel.

Grâce à ses fréquences en hausse, il devance nettement le Ryzen 7 3800X et s’approche du Core i9-10900K.

Il fait jeu égal en score physique malgré son nombre de cœurs inférieur et l’emporte sur la partie graphique.

Il ne suffit plus de multiplier par 1,25 pour déterminer le PL2 à partir du PL1.

Pour le segment des processeurs de bureau, les Comet Lake-S ne seront pas remplacés avant plusieurs mois.

Le roi déchu va désormais devoir se contenter d’un emballage plus classique.

Intel pourrait sortir ses puces Ice Lake pour les centres de données dans les prochaines semaines.

Issu d’un partenariat avec Samsung, il devrait équiper des smartphones dans les prochains mois.

Warhol est donc le nom de code des ordinateurs de bureau qui succéderont à Vermeer, eux aussi en 7 nm.

Des résultats prometteurs pour la partie CPU, un peu moins pour la partie GPU.

Après ASRock, Asus lance sa technologie APE (Asus Performance Enhancement) pour les chipsets B460 et H470.

La surface totale du die de la puce est de 206,1 mm², celle des cœurs CPU de 130 mm².

Quelques premiers détails sur les futures familles d’APU Ryzen, qui succéderont aux imminents Ryzen 4000 “Renoir” pour PC de bureau.

Des fréquences de base et Boost comprises entre 4 et 4,8 GHz pour l’ensemble de la gamme.

Des processeurs avec des fréquences de 200 ou 300 MHz plus élevées que les références actuelles pour contrer les Comet Lake-S d’Intel.

Le nouveau porte-étendard d’Intel établit déjà un record de fréquence supérieur à celui de son prédécesseur, le Core i9-9900K, qui a pourtant deux cœurs en moins.

Comme les Ryzen 4000 mobiles (4000H et 4000U), ils pourraient se limiter à du PCIe 3.0.

Un mois bien rempli, étant donné que les Ryzen 4000 Vermeer pourraient aussi débarquer au cours de cette période.

Des fuites sur les fréquences des prochains processeurs Vermeer à 16 et 8 cœurs d’AMD.

Face aux nombreuses critiques, l’entreprise a changé d’avis et officialise le support des puces Zen3 sur les cartes mères série 400.

Logique, puisqu’elles prennent en charge les processeurs Pinacle Ridge sous architecture Zen+.

Respectivement proposés à 110 et 130 euros, les Ryzen 3 3100 et 3300X bousculent le marché de l’entrée de gamme et boostent largement des configurations gaming à bas prix.

Toute une batterie de tests pour départager le fleuron des Comet Lake-S de celui des Ryzen 3000.

Des SoC Kirin 710A pas vraiment à la pointe de la technologie, mais qui illustrent malgré tout les progrès réalisés ces dernières années.

La société propose désormais sa technologie BFB (Base Frequency Boost) pour les puces d’ancienne génération sur chipset 300.